27-05-2020
Kaléido’news – mai 2020
|
Pourquoi
a-t-il quitté sa maison ? Que sont devenus ceux qu’il aimait ? Pourquoi
n’a-t-il emporté que ces quelques objets ? À aucun moment, le lecteur
ne trouve réponse à ces questions dans Là-bas , ce qui attisera, à n’en
pas douter, la curiosité de chacun. Seule la fin nourrit une certitude : ceux qui vont au bout de leurs rêves sans jamais perdre espoir finiront
par être payés en retour.
a-t-il quitté sa maison ? Que sont devenus ceux qu’il aimait ? Pourquoi
n’a-t-il emporté que ces quelques objets ? À aucun moment, le lecteur
ne trouve réponse à ces questions dans Là-bas , ce qui attisera, à n’en
pas douter, la curiosité de chacun. Seule la fin nourrit une certitude : ceux qui vont au bout de leurs rêves sans jamais perdre espoir finiront
par être payés en retour.
Né en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Matt Ottley vit en Australie. Artiste complet, il peint à l’huile des scènes
monumentales. « La réalisation de ce livre a nécessité un an, un mois
par scène, ce qu’on peut aisément imaginer en découvrant ses marines si
impressionnantes, où il y a un tel sens du détail et de la perspective,
raconte Camille Guénot, éditrice chez Kaléidoscope, qui a découvert cet
album à la Foire du livre jeunesse de Bologne. La ligne narrative sobre
est contrebalancée par l’intensité dramatique des paysages. »
monumentales. « La réalisation de ce livre a nécessité un an, un mois
par scène, ce qu’on peut aisément imaginer en découvrant ses marines si
impressionnantes, où il y a un tel sens du détail et de la perspective,
raconte Camille Guénot, éditrice chez Kaléidoscope, qui a découvert cet
album à la Foire du livre jeunesse de Bologne. La ligne narrative sobre
est contrebalancée par l’intensité dramatique des paysages. »
Là-bas est
d’abord un voyage esthétique. « Matt Ottley déploie des fresques
oniriques où se côtoient toujours la mer et le ciel, autour de cette
ligne d’horizon qui joue le rôle de fil rouge, commente Camille Guénot.
C’est un album à ressentir : le vent, l’eau, les embruns, la force des
éléments, nous sommes plongés au cœur de cette nature sauvage. »
Assurément, Kaléidoscope est bien décidé à suivre de très près ce
talentueux Matt Ottley.
d’abord un voyage esthétique. « Matt Ottley déploie des fresques
oniriques où se côtoient toujours la mer et le ciel, autour de cette
ligne d’horizon qui joue le rôle de fil rouge, commente Camille Guénot.
C’est un album à ressentir : le vent, l’eau, les embruns, la force des
éléments, nous sommes plongés au cœur de cette nature sauvage. »
Assurément, Kaléidoscope est bien décidé à suivre de très près ce
talentueux Matt Ottley.
vvv
Claudine Colozzi
Mai 2020
|
|